Jusqu'ou peuvent aller les défis ? Jusqu'à ce que la conscience humaine reste dans le raisonnable, mais parfois plus loin que la conscience et donc à la limite de l'inconscience.

Ce défi, un membre de la famille la relevé: Patricia BONHOMME-PEDRINIS;

Déja une retro l'avait montré dans une de ses oeuvres pour ce qui était une épreuve que nous pourrions maintenant appeler "d'entrainement", le Lyon Urban trail.

Non contente de parcourir des trails (courses de fond en pleine  nature) de quelques dizaines de km, sa limite jusqu'alors s'était figée à 105 km avec l' Ultra trail de Cote d'or.

 Mais sur cette mythique épreuve de la SaintéLyon de 75 km qu'elle avait déja affronté 4 fois, cette édition 2013, la soixantième du nom, elle est devenue avec une équipe de 21 compagnons "ULTRA FONDUE", entendez par là que cette distance ne leur suffisant pas, ils décidèrent de rejoindre le départ de Saint Etienne en courant!!!

Oui, vous avez bien lu, "en courant". Ce qui en concret les a fait partir de Lyon le samedi matin à 6h30 pour arriver à St Etienne vers 20h30, tout ça pour dire de se mettre "en jambe" afin de reprendre le départ à minuit soit quelques heures après ce premier périple de 75 km, pour remettre le couvert pour le retour !!

Cette opération est devenue: "La 180"

Bon, pour tout être humain presque normal, ,beaucoup se seraient déja contentés et avec une grande satisfaction de ces 75 km.

Surtout que le trajet de jour laisse entrevoir des paysages émerveillants, que les obstacles ne paraissent pas aussi impressionnants, et que les monts et vallées s'avalent avec tout le plaisir des yeux. Mais le retour de nuit, dans le froid, les zones de neiges parfois glacées, les montées, les descentes, les cailloux, la boue.... tout cela vire parfois au cauchemard.

Mais là, la force de caractère et de volonté de ces athlètes, fait transcender les jambes et surtout le cerveau.

Si bien que la seule envie de se surpasser, de faire preuve de volonté, en un seul mot: "arriver", font des miracles.

Ainsi, au terme de 27h de course, c'est avec une énorme émotion et surtout avec l'esprit d'une équipe soudée que la ligne d'arrivée est franchie.

Patricia a vaincu et franchi une étape. Un seul mot: "Chapeau"

Pour vivre la course en détail de l'intérieur:http://mamanpat.over-blog.com/ :  La 180 pour du bonheur à l'infini...

Dans la famille, la tradition des anniversaire persiste, et cette fois c'est Melvin (Bonhomme) qui en est la vedette.

Car treize ans, c'est un passage, celui de l'entrée dans la vie d'ado.

Pour ne pas oublier ce moment, une petite cérémonie familiale toute sympathique, était prévue en ce jour anniversaire du 9 février.

Ce fut l'occasion de rappels et de souvenirs déja importants à cet âge, et tout comme le montrent les photos qui suivent et qui égrennent une partie de cette liste:

2000: Naissance 

2001: Baptême 

2002: Star sur la plage du Grau du Roi 

2003: Mes essais à la musique 

 2004: Je préparai mon concours avec Maman

 2005: L'enfant sage

2006: L'appel de la mécanique 

 2007: Ma vision du monde s'élargie avec l'âge de raison

 2008: Un restant de passion mécanique 

2009: Découverte du tennis (influence de l'ex joueuse; Mamie) 

 2010: Ils sont pas bleus mes yeux ? 

2011: Progression dans le tennis 

2012: Découverte du basket 

2013: L'instant des cadeaux (c'est Noêl, dit mon frère Matthew) 

2013: Le bonheur suprême avec mon premier téléphone, et la surprise de maman et papa.

Un moment de bonheur et de partage, que nous avons tous vécu là.

Parmi nos ancêtres il faut noter sur Meyzieu, le couple COURJON Anthoine (décédé en 1681) et son épouse CHOMAT Jeanne (1624-1684).

De prime abord lui est "travailleur" donc un rang social plutot en bas de l'echelle, ce qui n'enlève rien à sa valeur humaine.

Mais l'orsque le 18 février 1669, naissent leurs jumeaux François et Geneviève, la lecture de l'acte de baptême fait apparaitre des relations toutes particulières avec des parrains et marraines pour le moins titrés.

On peut lire en effet que Francois à pour parrain: Messire POMPONE ARAD de la paroisse de la Cote St André, et pour marraine: Demoiselle Marguerite PARRA;

En ce qui concerne la soeur jumelle Geneviève, son parrain fut: Noble Germain BROAL sire de la CHARBONNIERE de BOULLIEU, et la marraine: Dame Geneviève de ROCHEFORT LA VALETTE dame de Mezieux et Chassieu.

Tout ceci en présence de Abraham de VRICENT seigneur de Chassieu.

Nul doute que l'avenir de nos lointains jeunes cousins était bien protégé.

Nous n'allons pas nier que le fait que les occasions ne manquent pas de se rassembler.

Cette dernière était un passage de cap, celui des soixantes ans d'Yvette PEDRINIS, épouse CAMILLUCCI.

Et comme une fois n'est pas coutume, ce fut à nouveau le site du Pont de Jons, ou les affres de la fête ne gênent pas les rares voisins, qui servait de support à ce joyeux regroupement.

Bien sur que l'époque limite le nombre de participants, car à l'exterieur, la température est un peu juste, et l'intérieur est accueillant avec tous les préparatifs mis en place pour rendre cette soirée agréable.

Une sérieuse mise en bouche avec buffet apéritif copieusement garni de forces bouchées, et surtout de contenants de liquides, que bien des braves ne tardèrent pas à affronter.

Lors, le décor était planté. L'occasion de rencontres, de remémorations, de discussions en attendant l'intronisation de la soirée par Bernard le chef d'orchestre, qui entouré de son petit monde accueillait officiellement les convives et remerciait la présence de tous.

Il faut noter, mais cela était visible que l'objet de la soirée s'accompagnait de "travers" personnalisés par des éléments vestimentaires plus ou moins sérieux ou loufoques, mais bon certains ne se privent pas.

Puis une période plus statique autour d'une immense table ou la soirée se poursuivait.

Le temps des agappes était ponctué par un jeu de lumière avant d'aborder la partie sucrée, puis bien sur un anniversaire est marqué par des cadeaux qui étaient remis à Yvette. Comme pour conjurer les effets négatifs d'une telle soirée, il semble qu'une cure de thalasso était dans les esprit de la récipiendaire.

Et comme cela ne suffisait pas, Yvette recevait de la part de Bernard une magnifique bague "commémorative"

Ce fut jusqu'à très tard dans la nuit (ou peut être tôt le matin) que se terminait cette excellente soirée pour laquelle il faut remercier nos hôtes.

Ou séjour de la famille Bonhomme, narré par Patricia.

"Alors que moultes amis s'alignent au festival des Templiers, je décille pour le pays du faucon Maltais, non moins inconnu du célèbre mystère des Templiers. A chacun sa façon d'aprehender l'histoire.

Une destination jusqu'à présent inconnue et qui n'aura attiré notre attention que par des proches qui ont eu l'idée d'y acquérir un pied à terre... ou à mer devrais-je écrire !

Direction donc Malte pour une semaine de vacances en famille où la douceur du mois d'octobre est réputée pour profiter des visites et d'une mer encore bien agréable !

Le lieu de villégiature se situe à Melleiha, au nord de l'île, au bord de la baie du même nom. La première impression est certe, que la mer est d'un bleu incroyable mais surtout, dans l'île c'est influence anglaise (ancienne colonie de nos voisins britaniques) avec conduite à gauche et volant à droite ! La pauvre Yaris de location aura mangé quelques trottoirs, craqué de la boîte de vitesse et permis d'avoir de belles frayeurs en se trompant de voie ! Quelle grosse marade !

Les côtes sont rocheuses, rocailleuse et voient se succéder falaises et plages de sable fin mais toujours sur un même azur aux fonds tropicaux...

Déjà je vous le dis, moi ça me plait bien !!!

Des couleurs magnifiques surgissent de toute part et la nature est vraiement très généreuse... sauf dans les terres où tout semble séché par le soleil et la chaleur, et donne parfois des impressions de désert.

Côté patrimoine, les batisses ont hérité d'un style empire avec les matériaux locaux, de sompteuses pierres qui font penser à nos belles pierres dorées des Mont d'Or.

Des architectures originales et intéressantes qui malheureusement semblent souvent à l'abandon. D'une manière générale tout paraît ni débuté ni fini quelque soit le lieu. Même en plein coeur de la capitale La Valette, certains immeubles semblent vous menacer de s'écrouler àvotre passage !

Le tourisme et l'artisanat sont évidemment de mise, et la particularité de la capitale sont les tours de  calèche en ville.

Du côté de la plage, l'ambiance est bien estivale et on comprend de suite que l'été sous 40°, les lieux sont forcément pris d'assaut !

Et quand on s'éloigne un tant soit peu de l'île pour naviguer entre les îles de Comino et Gozo, on tombe sur les somptueux lagons "Blue Lagoon" et "Chrystal Lagoon". Des merveilles pour les yeux, les baigneurs, navigateurs et plongeurs !

Les roches et falaises offrent des jeux lacustres magnifiques.

L'incroyable blue lagoon...

L'île de Gozo, appartenant au pays maltai, au nord de l'île principale, n'est pas en reste avec une multitude de baies au pied des falaises. Ici Xenlji Bay...

... avec un bateau typique maltais ancré dans un abri naturel.

De quoi être émerveillé et avoir le sourire !

Les maltais semblent avoir eu en adoration les citadelles et les cathédrales, on en trouve à chaque coin de rue ou presque ! Ici, la citadelle de Victoria, capitale de Gozo.

La cathédrale de Melleiha, de nuit.

Et puis dans les "spécialités" maltaises, nous vous proposons :

- l'absence de tout à l'égout qui vous vaut de circuler dans des chenaux lors de fortes pluies !

- une nourriture fraîche, gouteuse et abondante pour des prix défiant tout concurrence !

A bon le mixed fish : crevettes, poulpe, saumon, perche, moules farcies

Petit sandwich à 4,50 euros... "

Il n'y a plus qu'à réserver pour l'été !