Bon, ce n'est pas tous les jours que l'on fête ses 60 ans, et de surcroit en même temps son départ en retraite.
C'est pourtant "l'heureux" malheur qui est arrivé à Bernard (CAMILLUCCI) l'un de nos collatéraux (et ce n'est pas un gros mot) et mari de Yvette PEDRINIS.
Bien sur, le prétexte pour rassembler une bonne partie de la famille, ses amis, et tout ce qui va autour.
Le décors était planté ce samedi 18 juin aux pont de Jons, ou l'arrivée vrombissante d'une superbe Maserati au volant de laquelle Bernard avait pris place. Non ce n'était pas le cadeau de départ des TCL, mais un rêve inassouvi jusqu'à l'heure, et devenu pour un jour une réalité.
Une cinquantaine de convives, accueillait ce carrosse des temps modernes, et la fête allait concrètement démarrer, l'avenir nous dira jusqu'a quand .......
Ce fut le temps des remises de cadeaux (un voyage à Rome ville éternelle, une montre, et tas d'autres "petites choses" qui font toujours plaisir à recevoir.)
C'est avec l'émotion de circonstance, que Bernard entouré de sa famille (Yvette, ses filles Audrey et Sandra, et ses petits enfants Clara et Chris) tenait à remercier chaleureusement toutes celles et ceux qui par leur présence, lui ont manifesté leur attachement. Il n'oublia pas de souligner qu'en ce 18 juin, ce n'était pas que l'anniversaire de l'appel du Général de Gaulle, mais aussi et surtout l'anniversaire de sa belle soeur "JO".
Après quelques "légères" collations d'entrée, tout ce petit monde se retrouvait autour d'une immense table de 50 couverts.
Nul doute que toute la soirée, force pizzas, salades, tiramisu et consommations liquides diverses dans l'ambiance qu'on ne peut sous estimer, ont amené tous ces lascars à une heure très tardive, ou très tôt de la journée suivante, selon les cas. Certe avec plus ou moins de conséquences sur l'état de forme du lendemain.
Pourtant à une heure à peu près sérieuse, et pseudo officielle, ce fut un petit feu d'artifice qui relançait la machine pour ceux qui commencaient à s'engourdir. Car séances de danse, et karaoké ont démontré les forces restantes des convives à cet instant de la nuit.
Les heures tournant, et avançant, l'égrènement opérait son oeuvre, et que dire de ce qui s'est passé ensuite,......(silence)
Bref comme si rien (ou presque) ne s'était passé, c'est à nouveau, et là il a fallut attendre quelques retardataires, q'une bande d'insatiables insastisfaits remettait ça pour le dimanche, autour d'un barbecue qui à "doré" le ventre de Bernard, intronisé maitre-queue pour la circonstance.
Bref un petit moment familial comme on les aimes, et qui laissent de très agrébles souvenirs (peut être pas pour tous les organismes), et pour lequel il nous faut remercier chaleureusement tous les organisateurs.